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  • 1911, dans un manoir isolé en Russie, se joue une guerre de pouvoir, au sein de la communauté omegaverse… Serez-vous un Alpha de la noblesse, cherchant à s'attirer les faveurs des maîtres du manoir ? Cherchez-vous au contraire à les faire tomber ? Ou bien serez-vous un Oméga, voué à l'esclavage ?

    Nous sommes actuellement en mars.
    26.10.24 Soirée Gartic Phone sur Discord, le 1er novembre à 21h (heure française) viendez rigoler avec nous. ♥

    12.08.24 Il est de nouveau possible de jouer des Omégas récessifs !

    07.06.24 Changement du titre de noblesse attribué par défaut aux nouveaux arrivants du manoir : Lord et non plus Barron.

    03.02.24 Avancement de la chronologie du manoir : nous sommes en mars !

    01.01.24 Bonne année à tous. ♥

    25.11.23 Changement de codage de QEEL !

    04.11.23 Réouverture du groupe des Adamovitch, sous certaines conditions. Click.

    15.10.23 Réparation des templates en cours (pataper ;;).

    15.06.23 Fermeture temporaire des omégas recessifs et nous bloquons jusqu'à nouvel ordre les omégas avec une aura de prédateur.

    14.05.23 Création d'un recensement des PNJs ici !

    07.05.23 Ouverture du sous-forum pour référencer ses RPs-Discord.

    05.05.23 Mise à jour du règlement.

    21.03.23 Nouveau lieu : la cour extérieure !

    20.03.23 Démarrage de la quête du labyrinthe ici ! ♥

    17.03.23 Mise à jour des conditions de DC !

    04.03.23 Ouverture de la première quête du forum : perdus dans le labyrinthe !

    04.03.23 Création d'un PNJ pour les animations : @"Baba Yaga" !

    04.02.23 Ouverture du sujet des RPs aléatoires !

    10.01.23 Mise à jour de la FAQ.

    10.01.23 Le groupe des Adamovitch est temporairement fermé !

    05.01.23 Nous commençons déjà à chercher du staff ici.

    03.01.23 Possibilité de rajouter l'image de son animal, dans le profil ! (Visible dans les messages forum uniquement.)

    01.01.23 Bonne année ! ♥

    27.12.23 Ouverture de la Beta !

    17.12.22 Création du forum.
    Nos predef pipous. ♥
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    Maral - Oiseau de malheur.

    Maral
    Invité
    Anonymous
    Maral - Oiseau de malheur. Lun 1 Mai - 15:38

    Maral

    Maîtresse de mes pensées, esclave de mon amour.



    Nom(s) : Khürelbaataryn, mais cela n'a plus d'importance.
    Prénoms : Maral, signifiant "biche" en mongol.
    Date de naissance : 25 Mai 1888.
    Âge : Vingt-trois ans.
    Nationalité : Kalmouk (tribu mongole occidentale du bassin de la Volga).
    Rang : Esclave.
    Poste : Esclave de compagnie, officieusement Oméga "de réconfort" pour les autres Omégas gérant mal leurs chaleurs.
    Etat civil : Célibataire, bien qu'ayant donné deux enfants à son précédent maître.
    Sexe : Féminin.
    Genre : Cisgenre.
    Second genre : Oméga Récessive.
    Aura animale : Engoulevent.
    Odeur : Thé noir au lait.
    Orientation sexuelle : Sans préférence mais avec beaucoup de curiosité, et encore plus d'amour à donner.
    Dominance : Power bottom à géométrie variable - Maral apprécie de s'offrir toute entière à ses partenaires, de s'oublier sans retenue dans leurs bras mais est toute disposée à faire plaisir d'autres façons.

    Dorjiin Khürelbaataryn (Père) - Alpha Dominant - Loup de Mongolie Oyuun Khürelbaataryn (Mère) - Oméga Dominante - BicheMaral Khürelbaataryn - Oméga Récessive - Engoulevent

    Caractère


    Qualités : Affectueuse et tendre, sociable, finaude, loyale et dévouée (mais en général avec une seule et unique personne), optimiste, débrouillarde, extrêmement résiliente, charmante et séductrice, consciente de ses charmes, espiègle, curieuse des autres, de leurs cultures et leurs états d'âme, capable de tout sacrifier par amour sans le moindre remord.
    Défauts : Fantasque, pusillanime, turbulente, bavarde, lunatique, dissipée, parfois manipulatrice, demandeuse, monomane avec un comportement un peu erratique (il lui arrive de suivre des gens pour les observer à la dérobée ou de poser trop de questions) qui la rend étrange pour certain‧es résident‧es du manoir, souvent un peu trop intense quand elle aime quelqu'un (qu'on parle d'amour Eros ou d'amitié).
    Préférences : L'air frais, l'extérieur, "l'odeur" fraîche de la neige et celle des chevaux, la musique (elle joue du morin khuur et du khomus) et le chant, être sollicitée et désirée, le contact physique (par lequel elle prouve son affection), le crépuscule et la nuit, le lait, le millet et le riz (lui en donner c'est l'assurance de refaire sa journée), cajoler les autres Omégas (chastement comme plus sensuellement), dormir contre quelqu'un, les caresses, les travaux manuels, aller dans la salle violette (elle est l'une des rares Omégas à s'y rendre par plaisir autant que par obligation).
    Antipathies : La solitude, le silence, la symbolique de son aura animale (on dit que l'engoulevent est un psychopompe lugubre dont le cri, s'il est entendu, est synonyme de mort imminente), avoir trop chaud, déplaire aux autres, ne rien avoir à faire ni personne à qui parler, se faire ignorer, être séparée de celleux qu'elle aime, bien que globalement elle soit conciliante et mette un mouchoir sur ses sentiments quand on le lui demande.


    De l'engoulevent, Maral a cette aura tragique et fantasque d'un oiseau de mauvaise augure, meilleur exemple de l'idée que le désamour de soi-même puisse faire surgir la plus puissante dévotion pour les autres. Il est lourd, le poids de cette aura : l’engoulevent est réputé faire mourir les enfants à naître et ceux qui viennent au monde, et téterait tout le lait des chèvres en s'introduisant le soir dans les étables. Il est petit et laid, la bouche immense comme s'il voulait avaler le monde. Ainsi est Maral : constamment habitée par une soif inextinguible. Marquée du sceau de la mélancolie, constamment dans la crainte du rejet et de l'abandon qu'elle a trop souvent vécu. La liberté n'est pour elle qu'un monde bien trop vaste où elle n'a pas sa place, effrayant et froid : personne ne s'intéressait à elle quand elle était libre. Parce qu'elle est un oiseau de malheur, et qu'elle ne veut plus faire les mauvais choix. Parce qu'elle veut toute entière se donner, puisqu'elle n'a pas grand chose d'autre à offrir qu'elle-même. L'immensité de ses sentiments est impalpable, puisque c'est dans l'oubli de soi et la dévotion aux autres que Maral a trouvé l'équilibre. D'avoir trop couru, d'être trop tombée, elle a fini par craindre la liberté.

    Si ses chatteries sont charmantes et ses sourires plein d'une chaleur solaire, l'Oméga est également hypersensible et somme toute assez vulnérable. Face à l'hostilité, elle a souvent tendance à se replier sur elle-même, en évitant les affrontements. Ses joies et ses peines sont immenses, et ses rires nombreux sont autant de masques pour dissimuler son monde intérieur. Elle rit, elle chante, elle s'amuse - vous amuse - vous appartient pour une nuit ou pour la vie. Mais parce qu'elle a affreusement peur de la solitude - cette vieille amie - Maral doit (se) prouver quotidiennement qu’elle est digne d’être aimée, se battant contre les moulins à vent de ses angoisses. Voilà pourquoi elle donne tout ; l'Oméga n'espère qu'être aimée en retour si elle fait les choses telles qu'on les lui demande et ce fol espoir n'est rien d'autre que la conséquence d'une monomanie affective. Ne m'abandonne pas toi aussi, vous diront ses yeux. Garde-moi à tes côtés, dans tes bras. Fais de moi tout ce que tu voudras, pourvu que je reste avec toi.

    Méfiez-vous de ses sourires, de ses étreintes, de ses suppliques : l'Omega sait être toxique et même les Alphas ne sont pas à l'abri. Sa mélancolie érotique dessine sous sa peau le spectre de l'érotomanie ; elle s'invente des amours, des sentiments partagés. Elle vous guette et vous observe à la dérobée, au détour des couloirs du manoir. Sa personnalité maladive est au premier abord affectueuse et tendre mais si l'ivresse des sentiments la prend, l'engoulevent peut tout aussi bien devenir bizarre et erratique bien qu'elle n'ait pas mauvais fond. Elle est également volontaire et sait reconnaître ses erreurs, même s'il lui est parfois difficile de se ressaisir. C'est le besoin de ressentir de forts sentiments qui pose problème : au jour le jour, Maral est le plus souvent agréable a fréquenter. Elle veut bien faire, en fait souvent trop. Mais l'esclave est l'essentiel pour le maître puisqu'il se définit par sa possession ; Maral le sait. Si vous la laissez faire, c'est elle qui vous enchaînera.


    Physique


    Taille : Un mètre soixante-quinze.
    Corpulence :  Ectomorphe, silhouette naturellement fine avec peu de masse musculaire, ossature mince, articulation qui parassent fragiles, membres longs, toute en jambes. Tronc rectangulaire, bassin et épaules étroites, visage allongé et triangulaire ; métabolisme rapide et difficulté à prendre du poids. Sa morphologie est assez proche de celle d'une femme Beta.
    Cheveux : Une tignasse sombre qui malgré son jeune âge commence déjà à cendrer sur les mèches qui tombent sur son front. Depuis son arrivée au manoir, Maral a commencé à les couper elle-même aux ciseaux bien qu'elle les attache le plus souvent en un chignon vite expédié.
    Yeux : Noisette, brillant d'une petite lueur de malice qui trahit une nature légère et farçeuse mais dissimule un tempérament mélancolique.
    Signes distinctifs : Son typage d'Asie Orientale la rend assez reconnaissable parmi les esclaves du manoir. Elle parle avec un accent assez lourd bien que son russe soit loin d'être mauvais, bute sur des expressions et ne parvient pas à prononçer certains mots.
    Style vestimentaire : Maral porte les vêtements qu'on lui donne et les porte autant qu'on lui demande. Quand elle est autorité à porter ce qu'elle veut, la jeune femme revêt en général l'habit traditionnel mongol, à savoir le deel : un caftan long brodé avec une ceinture de tissu, un pantalon et des bottes épaisses à bout retroussé.


    Histoire




    tw : exil forcé, deuil, désamour de soi, relation toxique.

    Personne n'a pris la liberté de Maral ; elle s'est offerte elle-même à la servitude, acceptant volontairement de sacrifier ses ailes. Elle naît sur les rives de la Volga dans une communauté kalmouk refusant la sédentarisation. Les esprits de leurs ancêtres, Börte Cino et son épouse Qo'ai Maral - Le Loup Bleu et la Biche Fauve - veillaient sur eux depuis la nuit des temps. Ses parents, Dorjiin et Oyuun, sont Âme-Sœurs, formant ainsi l'union sacrée pour son peuple : le loup et la biche. On attend donc beaucoup de l'enfant qui grandit en Oyuun. Ce tout petit être, cette fille bénie, on l’appelle Maral, la Biche. Elle sera destinée à devenir la chaman de sa tribu, gardienne de leurs traditions, interprète des paroles de leurs ancêtres et des esprits de la toundra. Un grand destin qui deviendra une vaste tragédie.

    On croit dans les premiers temps que Maral est une Beta, et l'amour inconditionnel de ses parents cache une terrible vérité. Ils disent qu'elle est une biche, tout comme Oyuun, et qu'elle maîtrise depuis très tôt son aura animale ; il n'en est rien. Maral grandit à l'écart des enfants de son âge, élevée dans la rigueur de la tradition. Aucune chaleur ni rut ne vient perturber sa tranquille adolescence mais cela ne pose pas de problème à sa tribu : elle est l'enfant choisie, peu importe son genre. Les Alphas et Omégas comme ses parents sont rares, liés en général au couple primordial.

    C'est pendant un long mois de retraite avec le vieux chaman épervier qui la formait que Maral perd le contrôle de son aura animale pour la première fois devant quelqu'un d'autres que sa famille : c'est un petit engoulevent qui prend la fuite quand ils sont pourchassés par un ours. Son mentor rapporte ce qu'il a vu au chef de la tribu, malgré les pleurs de l'adolescente. Ses parents avaient menti à toute la tribu, et pour cause : l'esprit de l'engoulevent porte malheur dans les croyances de leur peuple. C'est un oiseau de mauvaise augure, symbole de mort, de perte, de perdition. Le chef est sans appel : c'est l'exil qui les attend tous les trois, pour avoir menti et dissimulé un être de malheur. A seize ans, Maral est rejetée par les siens sans savoir de quel ironique héritage elle doit cette aura. Un arrière-grand père, visiblement, qui comme elle fut rejeté de la tribu. Qui comme elle n'aurait jamais du naître.

    Ils errent, âmes en peine aux yeux morts, le long des rives de la Volga. La survie devient leur première priorité car quand bien même ses parents et elle sont issus de chasseurs et de fauconniers, ils sont sans appui, sans famille, sans tribu pour les protéger. Écrasée de la culpabilité d'être mal née, Maral sombre dans la dépression dont elle ne sort que périodiquement en raison de sa curiosité des étrangers à la peau claire qu'elle croise au détour des chemins. Ils la fascinent un peu, ces russes dont elle ne sait rien et qui lui échange des petits bijoux, des estampes, des outils contre ses prises de chasse quand ses parents troquent avec eux. Ce sont ces mêmes russes pour lesquels elle avait des étoiles plein les yeux qui lui prendront sa mère: des chasseurs d'Oméga capturent la biche et Dorjiin ne peut que sauver Maral et prendre la fuite.

    Oiseau de malheur, porte-poisse. Privée de sa tribu, puis de sa mère. Son père se claquemure dans le mutisme de sa forme lupine dont il ne sortira plus jamais, se laissant mourir d'avoir été séparé de son âme-sœur. Maral se retrouve alors seule, privée de tout. Elle vagabonde sur les routes du district de Tazovsky en se croyant la responsable de la tragédie de ses parents. A dix-huit ans, des chaleurs tardives la terrassent et la jeune fille réalise qu'elle est en réalité une Oméga. Elle apprendra seule à les gérer autant que possible, se retrouvant obligée de côtoyer les villes pour survivre maintenant qu'elle est réellement livrée à elle-même. Devenu joueuse itinérante de morin khuur, vagabonde crottée et sans le sous, Maral entrevoit le spectre lugubre de l'engoulevent lui dicter sa vie : loin de sa tribu, privée de ses parents, elle allait mourir de faim dans une grande ville sans que ces ancêtres n'acceptent son âme parmi eux quand elle quittera ce monde. Pendant deux ans, l'Oméga erre à travers le district en vivant du troc et de la mendicité, faisant son possible pour échapper aux chasseurs d'Oméga qui avaient eu raison de sa mère.

    Et puis un jour qu'elle cheminait entre deux villes en compagnie d'autres vagabonds, Maral les vit à l'horizon. Ces cavaliers montés sur de puissants chevaux, sabres au clair, déboulant droit sur le petit groupe en éperonnant furieusement leurs montures. Des éclats de voix tout autour d'elle ; on avait peur, on fuyait. L'oiseau de malheur porte à nouveau la poisse. Fatiguée de vivre perdue dans ce monde où elle est constamment seule, Maral ouvre les bras à ses ravisseurs. Prenez-moi. Donnez du sens à ma vie. Elle est la seule à s'agenouiller dans la neige devant les puissants Alphas là où tous les autres fuient pour conserver cette liberté dont elle ne veut plus. Ou tuez-moi, je m'en fiche. Les serres et les griffes ravissent alors le petit oiseau et le libèrent du poids de la liberté avant de le ramener au domaine des Adamovitch.

    Maral est esclave volontaire et pour ça, les autres Omégas qu'elle croise en arrivant au manoir la méprisent. Atone, ne parlant qu'à peine quelques mots de russe, la kalmouk est cantonnée aux tâches d'entretien du manoir dans un premier temps, jusqu'à ce que "l'exotisme" de ses traits n'attire les convoitises de quelques Alphas qui la demandent dans la chambre violette. Sous leurs attentions, sous leurs caresses, l'Oméga se sent revivre. On la regarde, on la demande et même si ce n'est que temporaire c'est la chaleur de leurs ébats qui lui redonne l'envie de vivre. Que la passion est belle, même quand elle est sauvage. Que les baisers sont doux, même s'ils sont licencieux. Certains esclaves la traitent de catin, mais iels sont bien content‧es lorsque Maral se glisse dans leur cellule à la faveur de la nuit pour les aider à supporter leurs chaleurs, les entourant de ses bras, les berçant contre son cœur, les baignant dans la chaleur de son corps.

    C'est un petit Alpha Récessif sans prestance qui s'amourache si fort d'elle qu'on les croient soudain des Âme-Sœurs ; Maral plonge à pieds joints dans tout ce que le baron Sokolov a à lui offrir ; il lui apprend la langue, les us et les coutumes du pays et du manoir. Elle est d'abord un délicieux caprice, puis une constante jusqu'à devenir pour lui son cruel essentiel si bien que le petit homme sort de moins en moins de ses quartiers, uniquement désireux de rester avec sa bien-aimée. Cette dernière lui donnera deux enfants, deux beaux jumeaux avec l'aura animale de leur père, à savoir le hibou. Maral le fascine ; le baron la rassure. Ils s'aiment si fort - éperdument - à s'en rendre malades, si fort que cela en devient malsain. L'ombre de l'oiseau de malheur plane à nouveau : la famille Sokolov se rend compte que leur unique héritier est en train de perdre la tête et on sépare le maître et son esclave. On retire ses enfants à Maral, la renvoyant dans le quartier des esclaves en sous-sols alors qu’elle avait vécu deux ans dans les appartements de son maître presque comme sa femme. A nouveau, on l’abandonne, on la prive de ses proches. Maral ne reverra plus jamais ni le baron Sokolov ni leurs enfants.

    Il fallut plusieurs mois à l'Oméga pour sortir de la catatonie dans laquelle elle avait sombré, mais rien n'effacera les traces de sa vie passée. Elle est oiseau de malheur, éternellement arrachée à ses proches. Elle est volatile de mauvaise augure, esquivée par les autres esclaves parce qu'elle se nourrit des miettes de tendresse que les Alphas consentent à lui donner dans la chambre violette pour laquelle la plupart des Oméga n'ont que du dégoût et de la peur. Elle, ça lui convient : elle a tant d'amour à donner qu'il la déborde. L'espoir est revenu dans son cœur brisé en songeant qu'elle n'avait pas encore croisé le chemin de son âme-sœur... car on en a tous une, n'est-ce pas ? Et si l'Oméga ne la rencontre jamais, elle continuera à servir avec dévotion celui ou celle qu'on lui aura désigné comme propriétaire de sa vie. A moins qu'elle ne demeure à jamais cette femme qui n'appartient à personne, qui se donne à tout le monde. Qui n'a plus rien à perdre, rien à gagner et ne désire plus rien mis à part ressentir le regard de quelqu'un, quelque part, qui se pose sur elle et lui prouve qu'elle existe encore.




    Halloween
    Le doyen
    Admin
    Le doyen
    Aura animale : Grand cachalot
    Particularités : 1,90m, 95kg
    Présentation : ICI
    Relations : [URL=LIEN]ICI[/URL]
    Re: Maral - Oiseau de malheur. Mer 3 Mai - 17:06

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    Halloween
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