Semyon - Born with a void, hard to destroy with love or hope. Mar 16 Mai - 12:44 | |
| Semyon Babitchev"No tears, please. It's a waste of good suffering."
― Clive Barker, The Hellbound HeartNom(s) : Babitchev, une tristement célèbre famille de bourreaux russes. Prénoms : Semyon, de patronyme Felixovitch. Date de naissance : 13 Mai 1976. Âge : Trente-cinq ans. Nationalité : Russe, ayant grandi à Saint-Pétersbourg. Ses traits trahissent pourtant une ascendance d'Asie de l'Est. Rang : Noble, baron. Sans titre à la naissance. Poste : Dresseur d'esclaves, étant leur éducateur comme leur tortionnaire. Etat civil : À la recherche d'un bon parti. Sexe : Masculin. Genre : Fluide mais n'en a pas conscience et se genre au masculin. Il se voit comme une personne principalement masculine mais ressent très fortement sa féminité, et exprime pour les femmes un sentiment naturel de sororité difficile à expliquer. Second genre : Alpha Récessif. Aura animale : Aigle Royal. Odeur : Café noir. Orientation sexuelle : Sapiosexuel, car seule la finesse d'esprit - et l'intelligence n'a pas de sexe ni de genre - des gens embrase ses sens. Dominance : Switch, bien qu'il affirme être dominant et se montrant versé dans une certaine forme de masochisme aussi bien physique qu'émotionnel et intellectuel. Felix Babitchev - Alpha Dominant - Pygargue à tête blancheIustina Babitcheva - Alpha Récessive - Aigle RoyalSemyon Babitchev - Alpha Récessif - Aigle Royal CaractèreQualités : Honnête (intellectuellement), patient, méticuleux, charitable, romantique, cultivé, raffiné, imperturbable, loyal et ne reprenant jamais la parole donnée, impartial, vertueux, modeste, féministe. Défauts : Honnête (brutally honest), particulièrement taciturne, froid, extrêmement dur et rigide, apathique, indifférent (en apparence), routinier à l'extrême, obsessionnel sur ses intérêts. Préférences : L'étude des langues, enseigner en général, la danse et la musique (allemande et française principalement), la solitude, la compagnie des Omégas, l'odeur de renfermé/d'humidité (celle des caves par exemple), les bonbons et les cigares (il a la dent très sucrée), être triste (la mélancolie lui procure un étrange sentiment de bien-être un peu délétère), l'honnêteté, la sincérité et la discipline. Antipathies : Les autres Alphas qu'il a tendance à éviter, son androgénie et sa Récessivité, les changements et les imprévus, la lumière vive et les odeurs fortes, qu'on lui mente (c'est la seule chose qui puisse l'irriter), les disputes entre Omégas, les discussions qui ne "servent à rien" comme la pluie et le beau temps, qu'on lui fasse perdre son temps. Semyon ne ressent rien.
Essence du vide, coquille creuse qui mime les nobles caractères d'un parangon de vertu, il est le petit prince d'un royaume intérieur plein de courants d'air. Aucune tempête ne le fait fléchir, aucun vent ne le fait diverger tant ses humeurs sont égales et ses principes sont rigides. Il est de fer contre le feu de la chair, d’airain face aux insultes : il ne plie ni ne se casse. Le regard de ses pairs l'indiffère puisqu'il n'a ni ego, ni fierté. Les vexations des autres le laissent de marbre et que vous lui offriez vos crachats ou vos insultes, l'Alpha demeure digne et droit. Il ne ressent rien. Vous ne pourrez pas l'atteindre. Quand sa main s'abat sur vous, c'est sans la moindre hésitation : vous n'êtes pour lui qu’un clou qui dépasse d'une planche et lui est le marteau qui vous frappera jusqu'à que vous soyez enfoncé dans le bois jusqu'à la tête. Il est le patient architecte de l’éducation des Omégas qui viennent au manoir mais également l'imaginatif ingénieur de leurs punitions. Chaque chose à sa place, chaque personne à sa place. Figure terrible du manoir, croquemitaine qui passe la majeure partie de son temps dans les sous-sols, les esclaves parlent de monsieur Babitchev comme d'un tortionnaire sans cœur. On dit qu'il élève des rats qu'il affame pour les glisser dans des sacs dans lesquels il fourre les esclaves récalcitrants à sa discipline. Qu'il affaiblit ceux qui lui résistent en les privant de sommeil et de nourriture pour les amoindrir jusqu'à ce qu'il craquent, avec la patience d'une vieille bête cruelle. Les esclaves parlent, et les rumeurs courent. Elles courent si vite que la plupart loupent la réalité.
Mais c'est le paradoxe de tout être humain qui hante le cœur de Semyon. L'empathie sans la compassion, une richesse intérieure qu'il cache, enfermée à double-tour dans la prison émotionnelle dans laquelle l'Alpha s'est volontairement réfugié. Sous la gangue de métal, c'est une âme à la douceur étonnante qui se débat. Il pleure, à l'intérieur. Les émotions qu'il ressent l’affaiblissent et le tourmentent. C'est la crainte qui le tiraille, c'est la culpabilité qui le ronge comme le vers dans la pomme. Il n'est jamais assez et le monde est un endroit qu'il ne comprend pas. Etranger en terre étrangère, éternel outsider, l'Alpha est complexé par cette Récessivité tant honnie par un père tyrannique qui lui fit payer sa féminité. Ce dernier le voulait parfait et l'a forgé ainsi, le frappant sans relâche sous l'enclume de sa cruauté. Tout ce qu'inflige Semyon, il l'a vécu ou se l'est déjà infligé car il pense qu'il ne peut créer une douleur qu'il ne comprend pas. Il dissimule sa sensibilité derrière une façade de froideur, de distance, que l'on peut aisément prendre pour de la fierté ou de l'orgueil.
Semyon ressent les choses, mais il ne sait pas les montrer.
Il a cet amour désintéressé de son prochain qui ne correspond pas à sa charge. Le goût de transmettre, de voir les Omégas sous sa responsabilité évoluer et se perfectionner petit à petit. Enseigner le russe, les bonnes manières, la danse, l'étiquette à table l'emplissent d'un sentiment difficile à définir pour lui. C'est de la fierté qu'il ressent pour ses poulains qu'il souhaite armer à cette vie d'esclave à laquelle leur condition les condamne. Parfois, il leur a dit ce dont il est convaincu : "ils ne pourront jamais voler vos âmes. Apprenez et devenez plus forts". Ce n'est ni de la perversion, ni de la cruauté. Semyon croit réellement que les Omégas doivent s'armer contre ce qui les attend, que l'esclave définit le maître et que de ce fait, il est capable de mener la danse. Rien ne le contente plus qu'un esclave qui absorbe ses enseignements et apprend à s'en servir, accepte modestement de suivre les leçons sans se rebeller. Un esclave courageux s'insurge et se rebelle. Un esclave intelligent apprend et utilise. Les patients, il les récompense là où les rebelles et les capricieux, il les broie, les brise et les détruit sans espoir de reconstruction ; les autres Alphas feront peut-être bien pire d'eux. Peut-être est-ce pour se donner bonne conscience mais toujours est-il que ses châtiments ne sont ni irréfléchis, ni sans objet.
Parce qu'il est particulièrement croyant, Seymon croit à la fatalité et à la pénitence. Se résigner à souffrir, c'est un pas vers Dieu lui-même par la patience, la résilience et la modestie. Il est question de souffrir non seulement pour soi mais également pour les autres dans un but plus grand que soi car comme l'enseigne l'Eglise : "beaucoup d’âmes sont corrompues parce que personne ne se sacrifie ni ne prie pour eux". L'amour désintéressé de son prochain est la notion qui parle le plus à Semyon. C'est accepter le châtiment encouru par un autre embourbé dans le péché, puisqu'il se sent incapable d'aimer et d'être aimé en retour.
Semyon a un trou à l’intérieur de lui, et recherche inlassablement ce qui lui manque. Celui ou celle qui lui manque. PhysiqueTaille : Un mètre quatre-vingt dix. Corpulence : Ectomorphe, silhouette naturellement fine avec peu de masse musculaire, ossature mince, articulation qui parassent fragiles, membres longs, tout en jambes. Cheveux : Blancs, bien qu'ils furent autrefois blonds. Semyon souffre du fameux "syndrome de Marie-Antoinette", et a vu blanchir toute sa chevelure sur une très courte période sans réelle explication logique. Yeux : Bleu banquise, toujours un peu humides comme s'il était sur le point de pleurer. L’œil caché sous son cache-œil n'est ni crevé ni blessé : Semyon est né avec un ptosis (chute de la paupière supérieure) très prononcé qui fait que son œil peut à peine s'ouvrir, mais pas assez pour voir correctement. Il préfère ainsi caché cet œil qu'il juge "disgracieux" et "perturbant" pour ses interlocuteurices. Les gens du manoir y vont tous de leur petite histoire sur ce cache-oeil mais la vérité n'a rien de rocambolesque. Signes distinctifs : Ses cheveux blancs mais également le fait qu'il soit borgne et porte un cache-œil. Cependant ce qui frappe le plus chez Semyon c'est son apparence physique : il est extrêmement androgyne au point qu'il est parfaitement possible de douter de son sexe tant qu'il n'a pas ouvert la bouche. Style vestimentaire : Sobre et propre, portant des costumes bien taillés mais sans aucune fantaisie. Semyon ne porte jamais aucune couleur, se vêtant en général de blanc et de gris car il trouve que le noir est trop agressif. Ses choix vestimentaires lui donnent un aspect terne et ennuyeux face aux autres nobles du manoir bien souvent beaucoup plus flamboyants que lui. HistoireVesna - My sister’s crown (Acoustic version)tw : Cissexisme, maltraitance infantile, travail de bourreau/tortionnaire.Briseurs de membres, rompeurs de cous, coupeurs de têtes, les mains dans la merde et le sang, les Babitchev ont toujours été les exécuteurs des basses besognes de la noblesse russe. Avec leurs yeux rapaces et leurs serres impitoyables, ils ont pris la vie de ceux qu'on leur désignait de génération en génération jusqu'à la naissance d'un enfant à moitié aveugle d'un œil et trop fin au goût d'un père qui espérait qu'après quatre filles, ce garçon se révélerait Dominant et capable de la perfection d'insensibilité dont lui-même faisait preuve. Contre l'avis de sa mère, Felix enseigna à son fils dernier né tout son art... en l'utilisant. Il ne lui épargna ni le fouet, ni la planche pour l'endurcir. Comprendre chaque douleur pour pouvoir la faire ressentir. Sous ces paroles cryptiques, ce n'était rien de plus que de la maltraitance : Felix haïssait Semyon avec passion depuis le jour où il avait compris que son fils avait des ruts comme des chaleurs. Il n'était qu'une fille de plus pour lui et ses longs cils et ses traits graciles le révulsaient plus que tout. Le patriarche brisa son fils, encore et encore, jusqu'à ce que ce dernier ne ressente plus rien en apparence. Juste une poupée sans âme, sans émotion, dédié à la charge qu'il allait lui donner. A dix ans seulement, l'enfançon avait déjà la chevelure intégralement blanche tant il avait enduré de violence et de cruauté. Mais Semyon était un Alpha. Il était fort et digne, et survécu a tout ce que son père lui fit subir avec une résilience proche de la folie. Les seuls moments de paix que l'enfant avait se trouvait dans sa passion pour l'étude. Studieux plus que de raison, pouvant passer des heures à s’abîmer les yeux à la lueur d'une bougie sur des livres trop complexes pour son âge, Semyon se passionna très tôt pour les langues après avoir découvert au détour d'une conversation anonyme qu'un de ses ancêtres était chinois, ce qui expliquait ses traits singuliers. Il découvrit la richesse des langues germaniques, la délicatesse des langues latines, les complexités des alphabets venus de pays qu'il n'imaginait qu'en rêve. Les langues le firent voyager, rêver, oublier. S'il n'avait été enfant de bourreau, il aurait voulu être diplomate et découvrir les richesses que le monde avait à offrir à ceux qui l'embrassent tout entier. Comme ce devait être grisant de partager ses langues avec les autres, d'apprendre, encore et encore, tout ce que la linguistique avait à offrir. C'est la sororité qui sauva Semyon. La puissance de ses sœurs associées, solidaires, puissantes. La force des femmes qui l’accueillirent comme l' une des leurs. Une volée d'oiseaux de proie. De leurs jeux quand ielles étaient enfants resta une inaltérable loyauté. La force de celles qui choisissaient l'amour et non le pouvoir. Avec elles, ses aînées, Semyon comprit que son père ne pourrait lui dérober son âme, qu'iel n'était pas sa poupée et qu'iel méritait un peu de cet amour. Rien n'était plus fort que cette sororité là et l'Alpha s'en gorgea pour survivre. Ses sœurs lea portèrent, lea protégèrent. Dans les alcôves secrètes, dans les profondeurs de la forêt qui avaient accueilli leurs jeux et leurs danses d'enfants, la sororité Babitchev fomenta un terrible plan : iels allaient assassiner leur Barbe Bleue de père. Tu quoque mi fili ; cinq poignards, vingt coups chacun, et son corps jeté dans une rivière. A dix-neuf ans, Semyon et ses sœurs étaient orphelin‧es de père de leur propre fait. Ielles ne seraient plus jamais les poupées de personne. Ielles délaissèrent leur famille criminelle, criminel‧lles eulleux-mêmes, pour rejoindre la grande Saint-Pétersbourg. Cette ville construite par Pierre de Grand sur les cadavres d'ouvriers forcés à travailler de force pour faire d'un marais puant le joyau de la Russie. Les cinq enfants Babitchev devinrent gouvernantes, institutrices, sages femmes, infirmières... Semyon suivit une de ses aînées devenue professeur de bonnes manières pour les jeunes premières de la noblesse. Iel se passionna pour le maintien délicat mais strict qui était exigé, la pratique de la musique, la danse, la couture, la maîtrise du russe, du cyrillique le plus parfait et commença par l'assister dans un premier temps avant de devenir à son tour précepteur pour la noblesse. Transmettre, guider, sévir... tout cela lui donnait l'illusion de pouvoir passer à autre chose et mettre de côté la culpabilité de son acte parricide. Mais le spectre de Barbe Bleue ne cessa de lea tourmenter, lui rappelant combien un bourreau reste un bourreau, un criminel demeure un criminel, un homme reste un homme. Une femme reste une femme. Cinq sœurs criminelles, unies dans le même sang porté comme versé. Et l'une d'entre elle qui ne savait plus très bien si elle était elle ou lui. Sa seule certitude était qu'il faudrait payer pour son meurtre, expier sa faute. Punissez ma fille, monsieur Babitchev. La voix de stentor du père de famille pour lequel il travaillait ne fit pas ciller Semyon. La blanche demoiselle face à lui lui rappelait cette poupée qu'il avait jadis été et pourtant il la frappa de sa badine. Les beaux yeux verts remplis de larmes ne lui tirèrent aucune émotion, pas plus que lorsqu'elle lui rappela combien elle était amoureuse de lui. Chaque coup que je vous porterais vous rendra plus forte, mademoiselle, lui avait-il expliqué. La résilience était la seule qualité qui permettait d'être puissant. Il la frappa, de nombreuses fois, chaque fois sans malice ni envie. Il frappa de toute sa conviction à faire d'elle une femme forte et courageuse, capable de s'opposer à la violence, aux colères injustes et aux cruautés ordinaires des ogres qu'étaient les hommes, personnifiés par son père. Il forgea avec patience cette femme qui l'adorait avec passion sans rien ressentir d'autre que la fierté de faire d'elle une femme capable de tout endurer sans rien accepter. Et ce fut exactement ce que devint la jeune Lady. Malgré les brimades, les punitions, elle s'érigea à la tête de sa famille par la seule force de son caractère de fer. Les punitions exigées par son père avaient détrôné son Barbe Bleue de son trône. Rien n'allait dans cette manière de faire mais Semyon comme ses sœurs n'en connaissaient aucune autre. Le poids de la culpabilité demeurait en l'Alpha qui se refusa à se marier. S'il n'avait été un professeur passionné, il serait assurément devenu prêtre. La religion - et son culte de la culpabilité - lui offrait un refuge pour son âme torturée et pourtant incapable de s'exprimer. Ce furent deux de ses sœurs qui lui parlèrent du Manoir Adamovitch, craignant qu'un jour la justice les rattrapent pour leur parricide dissimulé. L'habilité de Semyon a enseigner comme à punir, son apparente impassibilité et son absence totale de compassion (mais pas d'empathie) pourraient jouer en sa faveur. Il partit pour la demeure des Adamovitch alors âgé d'une trentaine d'années, avec ses deux aînées, les autres ayant fondé leur famille. La sororité fut éloignée, mais jamais brisée. Semyon le savait. Il se présenta comme ce qu'il était, avec ses lettres de recommandations et ses diplômes son œil éteint et son visage inexpressif. Il y avait des esclaves à éduquer - à dresser comme le disaient si bien les Adamovitch. Je leur enseignerai le russe, les bonnes manières. Je leur enseignerai la douleur, la résilience. Il était resté très sobre face à la famille princière. Je leur montrerai la peur. On l'embaucha après plusieurs essais, ses compétences ayant satisfaits les puissants de ce lieu étrange. Fascinant microcosme pour cet éternel chercheur et professeur. En cinq ans, Semyon éduqua nombre d'esclaves. Certains se plièrent à la leçon en comprenant que l'étrange Aigle borgne leur glissait des armes pour survivre au manoir. Certains, rebelles, furent forgés dans la douleur et les larmes. D'autres encore, dociles poupées désireuses d'être simplement l'objet du désir des Alphas, furent modelées selon les désirs de leurs maîtres. Ceux qui obéissaient été récompensés, et nombreux furent ceux qui ne furent jamais punis ; monsieur Babitchev n'avait pas la main leste et récompensait toujours l'intelligence mais son absence totale de pitié faisant de lui un véritable croquemitaine, les rumeurs allant bon train. La récompense et la punition, la caresse réconfortante et la morsure de la souffrance. Nettoyer patiemment les plaies qu'il avait ouvertes, offrir son oreille aux pleurs des Omégas... Semyon se mit à les aimer, à sa manière. Il voulait les protéger, les préparer. Que cela doit fait pour alléger sa conscience d'Alpha ou de parricide, Semyon ne le sut jamais vraiment. Il demeura dans l'ombre de ses deux sœurs plus intrigantes, accédant à la noblesse en même temps que lui. Croquemitaine des sous-sols du manoir, un Alpha qui se dédiait à une charge de Beta. Étrange oiseau borne qui terrorisait les domestiques par sa présence intimidante et ennuyait les Alphas par une autre, morne et terne. Si tu n'obéis pas, monsieur Babitchev viendra te prendre. C'était devenu la menace de tous les domestiques aux Omégas rebelles car personne ne comprenait ce qu'il cherchait réellement à accomplir. Personne ne pourrait comprendre que cette dureté qu'il avait pour les Oméga, c'était de l'affection. Parce que parmi eux se trouvait peut-être cette moitié d'âme qui lui manquait et qu'il n'osait plus espérer. Halloween
Dernière édition par Semyon Babitchev le Jeu 18 Mai - 10:54, édité 105 fois |
|