Alexeï - Miaou

Qualités : Fier - Eduqué - Poupée - Gentil - Paresseux surtout sous forme animale - Doux - Respectueux.
Défauts : Naïf par moment - Confiance en l'homme trop rapidement.
Préférences : Tu adores passé ton temps sous ta forme animale. Te dorloter dans un fauteuil et te laisser cajoler pendant des heures. Tu adores t'évader de ton sort en lisant des livres dans la bibliothèque. Tu aimes manger des choses salés. Tu adores jouer de la harpe et du piano. Tu aimes danser et tenir compagnie. Tu aimes ta mère.
Antipathies : Tu n'aimes pas ton père, ce traitre qui a pensé à t'échanger contre sa liberté. Tu n'aimes pas être laissé dans un coin et abandonné.

Taille : 1 m 88
Corpulence : Tu possèdes un corps plutôt svelte où l'on peut voir de fins muscles dessinés. Tu possèdes de longues jambes, un postérieur alléchant. Tu n'es pas parfait, mais on te prend souvent pour illuminer une pièce de ta beauté.
Cheveux : Ta chevelure est longue et rousse. Elle t'arrive dans le creux des reins.
Yeux : Un marron assez clair qui tire sur le orange.
Signes distinctifs : Tu possèdes une tache de naissance sur le flanc droit.
Style vestimentaire : Avant tu aimais mettre des vêtements serrés qui mettaient en avant ton corps. Mais depuis que tu vis au manoir, tu portes les vêtements qu'on t'a donné à ton arrivée. Même si tu te laisses habiller parfois comme une poupée par les nobles qui désirent avoir ta présence.

On dit que les femmes sont nées dans des roses et les hommes dans des choux, mais au vu de ta beauté, on se demande si tu n'es pas né dans une rose également. Tu viens au monde dans un couple soudé du moins c'est ce que tu pensais jusqu'à ton dixième anniversaire. Tu appris que ton père n’était pas si sage que ça. Il avait passé un moment à fuir les assassins de la famille Adamovitch, qu'il avait eu des aventures avec d’autres femmes. Donc si tu comprenais bien, tu avais sûrement des frères et sœurs dans le monde.

Tu étais un petit garçon assez sage, tu ne cherchais que rarement le conflit. Tu apprenais à lire et à écrire grâce à ta maman. Tu adorais voyager à travers un livre. Tu pouvais passer des heures à te dorloter au soleil. Ton aura animale fut le même que celui de ta mère. Tu étais un adorable chaton qui prit du volume et des centimètres. Un beau maine coon qui adorait se prélasser dans les bras de sa maman.

En grandissant tu remarques rapidement le regard que les gens pouvaient avoir sur toi. Tu étais grand, svelte. Ta longue chevelure rousse qui descendait le long de ta chute de reins. Tes hanches fines. Ton torse légèrement musclé donnait envie de te cajoler. Tu jouais beaucoup de tes charmes avec ta mère. Ton père, lui, voyait un moyen de retirer l’épée de Damoclès qui était suspendue au-dessus de sa tête. Il avait 25% de chance que tu deviennes un oméga. C'était moins de la moitié des chances d'être un Alpha, mais tu étais de nature douce et avais hérité de l'aura de ta mère, alors pourquoi pas de son second genre également ? Et il faut l'avouer que ça arrangerait ses affaires.

Il te présenterait rapidement à une connaissance qui était en contact avec la famille Adamovitch. Qui aurait  l’idée de te vendre ou de te donner contre l’abandon des charges qui pesaient sur la tête de ton père. Toi de ton côté, tu ne te doutais pas du tout que ton paternel irait jusqu’à te donner contre sa survie. Dans le doute, ton père faisait en sorte que tu apprennes beaucoup de chose sur le monde qui t’entourait. Il t’apprenait les bonnes manières, tu eus le droit à des leçons de piano, d’harpe et de danse. Tu devais aussi laisser tes cheveux pousser pour ressembler à une petite chose désirable et fragile. Cependant tu grandissais, tu perdais ton visage de poupon, tu devenais un homme plus masculin. Tu te doutais que c’était bizarre cet engouement pour faire de toi, un être gracieux et compétent dans certain domaine. Mais tu aimais tellement apprendre et faire de la musique, que tu ne te doutais pas un seul instant de l’idée horrible derrière la tête de ton paternel. D'ailleurs les cours devenait de moins en moins fréquents... Ton paternel commençait a douté de ton potentiel pour devenir un oméga. Il ne voyait pas tes chaleurs arriver, ça l'effrayait, il avait perdu du temps à t'éduquer pour rien...En te voyant prendre de la masse et grandir... Il avait eu des sueurs froides et commençait à réfléchir a un autre moyen de sauver ses fesses...

Puis un soir, tu te sentis bizarre, ton corps avait chaud, tu avais une perte de contrôle sur tes phéromones. Tu fus enfermé dans ta chambre à double tour. Derrière la porte, ton père affichait un grand sourire à faire froid dans le dos. Tu avais eu des chaleurs tardivement. Tu lui avais fait une belle frayeur. Tu venais d'avoir dix huit ans et tes chaleurs se manifestaient enfin. Ce soir là, ton père reprit donc contact avec la personne qui pourrait lui sauver les miches. Il reprit aussi ton apprentissage. Te perfectionnant à être un véritable bijou pour ton futur acquéreur. Ta mère avait eu vent des intentions de ton père et avait lutté pour que tu ne finisses pas ainsi. Mais ton père eu gain de cause...Toi, tu te contentais de vivre ta vie naïvement. Le moment de te donner n’était pas encore venu. Mais ton destin était tracé sans que tu ne le saches vraiment.

Quand tu eus vingt deux ans, un homme débarqua à la maison. Il était grand, bien habillé. De riche tissu faisait partit de son costume. Il tenait dans sa main un dossier. C’est tout ce que tu avais pu voir de ton perchoir. Tu étais sous forme animale en train de paresser comme à ton habitude dans les recoins de la maison. Tu avais fini par écouter les propos de ta mère. Celle-ci te disait souvent de te méfier de ton père. Alors tu avais commencé à te balader assez souvent sous forme animale dans la maison. Passant pour un gros chat dans la demeure. Ton père se précipita pour serrer la main de cet inconnu. En un regard, il les conduisit vers son bureau. Les négociations commencèrent dans cette pièce où, tu n’avais jamais eu le droit de pénétrer. Tu avais tenté par le passé de t’y glisser, mais ton père te sermonnait à chaque fois. Tu en gardais d’ailleurs quelques traces dans ton dos.
Dans le bureau, ton père demanda avec intérêt si toutes les menaces et les charges qui pesaient sur lui, seraient bien abandonnées une fois qu’il aurait signé ce papier. L’homme ne put que sourire en coin avant de répondre d’un ton autoritaire.

« Oui… il sera fait ainsi. Maintenant préparez votre … ah non, notre esclave pour le transport. »

Toujours allongé sous ta forme animale, tu paressais dans toute ta splendeur, ta queue gigotait dans le vent, pendant que tu entendis la porte du bureau de ton paternel s’ouvrir, celui-ci te demandait de descendre de ton perchoir. Tu exécutas les ordres en sautant sur tes quatre pattes. Il vint te prendre dans ses bras. *Chouette des caresses ?* Il te porta avec difficulté, après tout tu étais un gros chat. Il marcha jusqu’au bureau… tu avais les oreilles en alerte, pourquoi il te menait là, alors qu’il t’avait toujours ordonné de ne jamais y mettre un pied ? Tu n’avais pas le temps de voir ce qui t’arrivait quand tu fus soudainement mis dans une cage… La porte se refermas... tu feulas de mécontentement. Crachant sur cette cage, tu ne comprenais pas. Puis l’inconnu fit appel à des hommes restés à l’extérieur de la maison. Pourquoi ? Ta mère était absente de la maison, celle-ci étant partie se promener. Mais en rentrant chez elle, elle aperçut la cage contenant son fils passer de la maison à la calèche. Elle courut en criant, de te laisser ! De ne pas t’emmener. Ton père se dépêchas de lui barrer la route en lui demandant de rentrer. Que c’était pour votre survie. Toi, tu miaulais dans la cage, essayant de te jeter sur la porte, crachant toujours, avant de trembler face aux coups donnés sur la cage et à la voix de l’homme qui te demandait de te taire. À quelle sauce allais-tu être mangé ?

Le voyage fut plutôt long… Tu ne sus pas combien d'heures route tu as pu faire enfermé dans cette cage. Tu avais fini par rester sage dans le fond. Observant le jour disparaitre pour laisser place à la nuit. On ouvrit enfin la porte de la calèche, deux hommes attrapant la cage pour la porter. Tu laissas tes yeux vagabonder sur l’environnement inconnu. On te monta dans une pièce avant de t’ordonner de sortir de là. Tu passas une patte après l’autre avant de t’asseoir sur ton postérieur.

« Tu as été cédé afin de combler la dette qui pesait sur la tête de ton paternel. Tu vas rester ici. D’après ce qu’il a dit à ton sujet, tu seras bon pour divertir les nobles et répondre à leurs besoins. Maintenant reprend forme humaine ou je devrai te punir. »

Tu penchas la tête sur le côté avant d’exécuter les ordres. Te voilà assit sur tes fesses, ta longue chevelure rousse te protégeant le dos. Ton regard posé sur l’homme qui approcha avec un collier de cuir. Il te l’installa avec un grand sourire, refermant le cadenas sans ménagement. Ce « clic » t’expliquait que ce n’est pas un cauchemar mais bien la réalité. On te donna des vêtements de mauvaise facture. Une chemise blanche que tu t’empressas d’enfiler, un sous-vêtement ainsi qu’un pantalon et des chaussures. Une fois convenablement vêtu, tu fus conduit dans les sous-sols avant de connaitre le lieu où tu dormirais à présent. Tu aurais rendez-vous plus tard pour connaitre divers nobles.

Ce fut le début d’une nouvelle vie qui commençait pour toi. Les semaines qui suivirent, tu eus un check up complet de ton corps, vérifiant ta pureté comme il l’était mentionné dans ton dossier, mais également si tu n’avais pas de difformité. Tu fus présenté aussi dans la salle violette pour tenir compagnie à qui le voudrait. Pour le moment tu n’eus pas à donner ton corps pour distraire un noble. Seulement jouer de la musique ou simplement t’étendre sur leurs genoux pour recevoir des caresses. Certains te prenaient pour une poupée qu’on aimait bien trimballer avec soit. Un être sublime qui donnait un peu de lumière dans certaines pièces.