Marie Stahlbaum ~Fiancée attendue~

Qualités : Patiente, Douce, Observatrice, naïve, souriante
Défauts : Têtue, Perfectionniste, introvertie, innocente (oui dans son cas c'est un défaut)
Préférences : La peinture, le violon, cuisiner des pâtisseries, les livres, avoir le choix…
Antipathies :L’intolérance, l’injustice, la réglisse, l’odeur du cigare, son grand-père.

Taille : 1m70
Corpulence : Une poitrine généreuse, une taille de guêpe, même si son esprit rêve des pâtisseries qu'elle pourrait manger, Marie doit suivre un régime pour rester désirable, attirante, surtout pour un fiancé qui ne l'a jamais vu. Elle n'a pas beaucoup de muscles, ce n'est clairement pas une sportive et tout effort se voit directement sur son visage qui devient rapidement rouge.
Cheveux : De longs cheveux châtains foncés qui descende jusque dans le creux de ses reins. D'un naturel ondulé, les domestiques passent une bonne partie de leur travail à retirer les lisser pour en faire des chignons, ou des tresses. Si ça ne tenait qu'à Marie, elle les laisserait à leur état naturel, ce qu'elle fait quand elle peut rester enfermée chez elle.
Yeux : Verts
Signes distinctifs : De fines cicatrices à l’arrière des genoux
Style vestimentaire : Parce qu’elle a une image à tenir, parce qu’elle doit être parfaite aussi bien dans ses manières que ses tenues, Marie a toujours eu l’habitude de porter des tenues de belles qualités qui la mette en valeur sans pour autant la mettre au centre de l’attention. Ses cheveux sont toujours coiffés soit avec une longue tresse soir en chignon. Le maquillage doit être discret, pour ne pas ressembler à une prostituée…
Pourtant quand elle reste enfermée chez elle, adieu les robes à corset, les chapeaux qui pèse trois kilos sur la tête, le maquillage et bonjour la chemise qui arrive aux genoux et le pantalon qu’elle a emprunté à son frère. De toute manière pour dessiner pas besoin de bien s’habiller.

Les souvenirs d’enfance ont tendance à se dissiper en grandissant, pourtant Marie les garde précieusement dans son cœur.  Le souvenir ses pères, âmes-sœurs qui ne se quittaient pas et leur trésor qu’était leur fille, d’une vie de bonheur et de liberté auquel l’enfant qu’elle était avait été brutalement arrachée.

Lorsqu’elle avait huit ans, il y eu un accident et ses pères perdirent la vie. Brusquement l’enfant passa d’une vie simple à une vie de noble, elle fut accueillie par un grand-père froid qu'elle n'avait jamais rencontrée, elle n'osa jamais posé la question de pourquoi elle ne l'avait jamais vu avec ce jour tragique, le regard froid de son oncle avait tendance à la tétanisée.  Deux ans plus tard, alors à peine âgée de dix ans, il décidé de la fiancer à un noble Russe pour des raisons politiques. Car Marie était une combinaison rare que cherchait le noble Russe, elle avait en effet hérité de l'aura de sa grand-mère qui était elle-même une Pizzly, Marie aurait aimé la rencontré car les domestiques en parlait avec beaucoup d'affection.

Elle dû subir les leçons sur l’étiquette, fut souvent disciplinée à cause de son esprit indompté. A force de coups, de privation de nourritures et de nuits froides, elle dû apprendre à être parfaite pour ne plus souffrir.  Ses seules échappatoires furent la peinture et le violon où elle y mit toute son âme, chacun représentant une passion des l’un de ses parents.

Elle ne savait pas trop quoi pensé de son fiancé, ce n’était pas comme si elle avait le choix de toute manière, tout ce qu’elle savait c’était les avantages qu’une union avec lui allait apporter à sa "famille". Elle espérait juste que son mariage allait lui permettre de ne plus jamais croiser son grand-père qu'elle avait apprit à mépriser.

Elle s'était soumise pour survivre, mais son esprit n'était pas encore brisé. Son cœur était toujours pur et par sa gentillesse, elle avait été aimée des domestiques, d'ailleurs c'est grâce à eux qu'elle avait pu survivre aussi longtemps, en lui cachant des pâtisseries lorsqu'elle était privé de diner. Elle avait même apprit à cuisiner lorsque son grand-père s'absentait et adorait la pâtisserie, sans doute parce qu'elle adorait tout ce qui était sucré.

Lorsqu'elle eu 19 ans, son grand-père lui annonça qu'il était grand temps qu'elle se marie et elle fit le voyage jusqu'en Russie, voyage qui ne fut pas de tout repos, elle était exténuée, mais ne devaient rien laissé transparaître, elle se devait d'être parfaite pour rencontrer son époux afin qu'il ne la renvoi pas chez elle, il était sa seule chance de survit et elle le savait. C'est pour être irremplaçable qu'elle avait passé toutes ses années à étudier.

Retenant un soupir, elle regardait l'ombre du manoir qui se dessinait de plus en plus au fur et à mesure qu'elle approchait.