• Règlement .01
  • Annexes .02
  • FAQ .03
  • Recensements .04
  • Banque d'avatars .05
  • Invités .06
  • Crédits .07
  • Discord .08
  • 1911, dans un manoir isolé en Russie, se joue une guerre de pouvoir, au sein de la communauté omegaverse… Serez-vous un Alpha de la noblesse, cherchant à s'attirer les faveurs des maîtres du manoir ? Cherchez-vous au contraire à les faire tomber ? Ou bien serez-vous un Oméga, voué à l'esclavage ?

    Nous sommes actuellement en mars.
    26.10.24 Soirée Gartic Phone sur Discord, le 1er novembre à 21h (heure française) viendez rigoler avec nous. ♥

    12.08.24 Il est de nouveau possible de jouer des Omégas récessifs !

    07.06.24 Changement du titre de noblesse attribué par défaut aux nouveaux arrivants du manoir : Lord et non plus Barron.

    03.02.24 Avancement de la chronologie du manoir : nous sommes en mars !

    01.01.24 Bonne année à tous. ♥

    25.11.23 Changement de codage de QEEL !

    04.11.23 Réouverture du groupe des Adamovitch, sous certaines conditions. Click.

    15.10.23 Réparation des templates en cours (pataper ;;).

    15.06.23 Fermeture temporaire des omégas recessifs et nous bloquons jusqu'à nouvel ordre les omégas avec une aura de prédateur.

    14.05.23 Création d'un recensement des PNJs ici !

    07.05.23 Ouverture du sous-forum pour référencer ses RPs-Discord.

    05.05.23 Mise à jour du règlement.

    21.03.23 Nouveau lieu : la cour extérieure !

    20.03.23 Démarrage de la quête du labyrinthe ici ! ♥

    17.03.23 Mise à jour des conditions de DC !

    04.03.23 Ouverture de la première quête du forum : perdus dans le labyrinthe !

    04.03.23 Création d'un PNJ pour les animations : @"Baba Yaga" !

    04.02.23 Ouverture du sujet des RPs aléatoires !

    10.01.23 Mise à jour de la FAQ.

    10.01.23 Le groupe des Adamovitch est temporairement fermé !

    05.01.23 Nous commençons déjà à chercher du staff ici.

    03.01.23 Possibilité de rajouter l'image de son animal, dans le profil ! (Visible dans les messages forum uniquement.)

    01.01.23 Bonne année ! ♥

    27.12.23 Ouverture de la Beta !

    17.12.22 Création du forum.
    Nos predef pipous. ♥
    Le Deal du moment : -19%
    PC portable MSI Gaming Pulse 16” -Ultra7 155H ...
    Voir le deal
    1299 €

    “Le lièvre compte sur ses jambes, le loup sur ses dents : chacun survit comme il peut.” ~ Konrad

    Konrad
    Oméga récessif.ve
    Konrad
    Animal : “Le lièvre compte sur ses jambes, le loup sur ses dents : chacun survit comme il peut.” ~ Konrad 1724273461-209989
    Aura animale : Oméga récessif - Lièvre variable
    Particularités : Odeur d'ambre gris, cicatrice sur la clavicule
    Présentation : ICI
    Relations : ICI
    “Le lièvre compte sur ses jambes, le loup sur ses dents : chacun survit comme il peut.” ~ Konrad Mer 21 Aoû - 22:46

    Konrad

    Ce que je crois est la seule chose qui m’appartienne. Proverbe polonais.



    Nom(s) :  .
    Prénoms : Konrad.
    Date de naissance : Dimanche 17 avril 1892.
    Âge : 19 ans.
    Nationalité : Polonaise.
    Rang : Esclave.
    Poste : .
    Etat civil : Célibataire.
    Sexe : Masculin.
    Genre : Bonne question Cisgenre.
    Second genre : Oméga récéssif
    Aura animale : Lièvre Variable.
    Odeur : Ambre gris.
    Orientation sexuelle : N’y a jamais réfléchi.
    Dominance : Aucune idée

     Wiktor Łukasiewicz – Alpha récessif – Konik polski Wanda Łukasiewicz – Oméga Récessive – Lièvre VariableMagdalena Łukasiewicz - Bêta – Loutre de MerKonrad – Oméga récessif – Lièvre Variable

    Caractère


    Qualités : Ironie, sarcasme, obstination, persévérance, débrouillardise, résistance, courtoisie, sens de l’humour.
    Défauts : Ironie, sarcasme, obstination (dans certaines situations), vulgarité, le manque de ponctualité. Sa consommation de cigarettes.
    Préférences :
    L'attachement de Konrad envers sa sœur est profondément ancré dans leur enfance partagée, où ils ont construit des souvenirs indélébiles. Leur complicité est un refuge dans un monde souvent tumultueux, et leur lien fraternel est une source de réconfort et de soutien mutuel.

    Ses parents, quant à eux, représentent les fondations de son identité. Leur amour et leurs sacrifices ont façonné sa vision du monde. Konrad ressent une gratitude immense envers eux, car ils lui ont transmis des valeurs essentielles et un sens de l'appartenance à la culture polonaise.

    Łatka, son lévrier polonais, est bien plus qu'un simple animal de compagnie. Il incarne la loyauté et la joie, apportant une légèreté à la vie de Konrad. Les promenades avec Łatka sont des moments de sérénité, où il peut se reconnecter à la nature et à lui-même.

    Sa grand-mère, d'origine russe, est une figure emblématique de sa vie. Elle lui raconte des histoires de leur héritage, lui transmettant une sagesse précieuse et un amour inconditionnel. Les traditions qu'elle lui enseigne renforcent son attachement à ses racines.

    La Pologne, et plus particulièrement la ville de Varsovie, est le décor de son existence. Chaque rue, chaque monument évoque des souvenirs et des émotions. La ville est un symbole de résilience et de beauté, et Konrad se sent profondément lié à son histoire.

    La musique et la danse polonaise sont des expressions de joie et de culture qui résonnent en lui. Elles lui rappellent les fêtes familiales et les rassemblements communautaires, où la convivialité et la tradition se mêlent. Ces moments de partage nourrissent son âme.

    La vodka, quant à elle, est souvent associée à des moments de convivialité et de célébration. Pour Konrad, elle évoque des souvenirs de rires partagés et de discussions animées autour de la table, renforçant les liens avec ses proches.

    Fumer, bien que parfois perçu comme un vice, est pour lui un rituel de pause, un moment de réflexion. Cela lui permet de s'évader, même si ce n'est que pour quelques instants.

    Enfin, son ancienne liberté est un souvenir précieux, un temps où il pouvait explorer sans contraintes. Cette nostalgie le pousse à chérir chaque instant et à apprécier les petites choses de la vie.

    Dans l'ensemble, l'attachement de Konrad à ces éléments de sa vie est un mélange d'amour, de nostalgie et de fierté, formant un tableau riche et complexe de son identité.

    Antipathies :Borys son cousin paternel, la mauvaise vodka, la situation politique de son pays, le pollen, être séparé de sa sœur, la propension de presque tout le monde à pouvoir le bouffer, sa séquestration forcée. Les nations ayant envahit la Pologne, le manque de tabac


    Physique


    Taille : 1M70
    Corpulence : Moyenne
    Cheveux : Noir, avec des reflets brun foncés au soleil
    Yeux : Vert
    Signes distinctifs : La cicatrice que lui à fait son cousin à hauteur de la clavicule gauche, le vert changeant de ses yeux, le rythme bas de son coeur
    Style vestimentaire : Celui de son époque. Maintenant qu'il est ici, il se figure bien qu'il n'aura pas nécessairement autant de liberté sur ce point, tant qu’il à des vêtements ce serat déjà bien.


    Histoire


    En 1892, la Pologne était un pays partagé entre trois puissances : l'Empire russe, l'Empire allemand et l'Empire austro-hongrois. Ce contexte politique complexe influençait profondément la vie quotidienne des Polonais, y compris celle des familles nobles comme les Łukasiewicz.
    Varsovie, bien que sous domination russe, était un centre culturel et intellectuel vibrant, où les aspirations nationalistes commençaient à prendre forme. C'est dans ce contexte que naquirent Konrad et Magdalena Łukasiewicz, jumeaux issus d'une famille noble polonaise respectée.

    La naissance des jumeaux eut lieu dans un manoir élégant, situé dans l'un des quartiers aristocratiques de Varsovie. Le manoir, avec ses grandes fenêtres et ses jardins soigneusement entretenus, était le reflet de la richesse et du statut de la famille Łukasiewicz. Leur mère, la comtesse Wanda Łukasiewicz, était entourée de médecins et de sages-femmes, tandis que leur père, le comte Wiktor Łukasiewicz, attendait avec impatience l'arrivée de ses enfants.
    Leur mère, une femme de caractère, était issue d'une famille aristocratique respectée, tandis que leur père, un homme d'affaires avisé, avait su faire prospérer les affaires familiales malgré les tensions politiques croissantes.

    Le jour de leur naissance, une atmosphère de joie et d'excitation régnait dans le manoir.

    La naissance des jumeaux fut célébrée avec faste. Des invités de marque, des membres de la noblesse locale et des amis de la famille se rassemblèrent pour fêter cet événement joyeux. Les cris des nourrissons résonnaient dans les couloirs du manoir, et la nouvelle se répandit rapidement parmi les membres de la noblesse locale, tandis que les serviteurs s'affairaient à préparer un banquet somptueux. Les jumeaux, Konrad avec ses cheveux sombres et Magdalena avec ses boucles argentées, étaient considérés comme des porte-bonheur pour la famille, symbolisant l'espoir d'un avenir radieux dans un pays en proie à l'incertitude. Des célébrations furent organisées, avec des banquets et des feux d'artifice, marquant l'arrivée de ces deux enfants qui étaient perçus comme des symboles d'espoir pour la famille et la nation. Pour leur famille et tout ceux présent, le fait que Konrad soit un levreau et sa sœur une loutronne n'était qu'un autre signe de la bonne fortune qui attendait la famille.

    Konrad et Magdalena grandirent dans un environnement privilégié et protégé, mais pas exempte de défis. Ils grandirent entourés de livres, d'art et de musique, leur éducation étant une priorité pour leurs parents et leur grand-père  qui souhaitaient leur transmettre non seulement les connaissances académiques, mais aussi un sens aigu de leur identité polonaise.
    Des précepteurs leur enseignaient non seulement les matières académiques comme les langues, l'histoire, la littérature et les arts,mais aussi l'histoire de la Pologne, les valeurs de la noblesse et l'importance de leur héritage. Les récits des luttes passées pour l'indépendance de la Pologne résonnaient dans leurs esprits, éveillant en eux un sentiment d'identité nationale.

    Leur enfance se déroulait dans un cadre idyllique, avec des journées passées à explorer les vastes jardins du manoir, à jouer avec les enfants des familles nobles voisines, et à participer à des événements sociaux.
    Cependant, la réalité politique de l'époque ne pouvait être ignorée. Les tensions entre les différentes puissances occupantes se faisaient sentir, et les discussions sur l'avenir de la Pologne étaient fréquentes lors des dîners familiaux. Les jumeaux, bien que jeunes, prenaient conscience des enjeux qui les entouraient. Ils entendaient parler des mouvements nationalistes qui commençaient à émerger, des espoirs de révolte et des aspirations à l'autonomie.

    Konrad, avec son esprit aventureux, était fasciné par les histoires de héros polonais et de luttes pour l'indépendance, rêvant de liberté et d'aventures. Il passait des heures à lire des livres sur les révoltes passées et à rêver d'un avenir où la Pologne serait libre. Magdalena, plus réfléchie et introspective, aimait passer du temps dans la bibliothèque familiale, dévorant des livres sur l'histoire et la culture polonaise. Elle aimait dessiner et écrire, capturant ses pensées et ses rêves sur le papier. Elle s'intéressait particulièrement aux mouvements artistiques et littéraires qui émergeaient à Varsovie, cherchant à comprendre comment l'art pouvait contribuer à la renaissance nationale. Ensemble, ils formaient un duo inséparable, partageant des rêves d'un avenir où leur pays serait libre et uni.

    Leur enfance, bien que bercée par le confort de leur statut noble, était teintée d'une conscience aiguë des luttes de leur peuple. Les jumeaux Łukasiewicz grandissaient dans un monde où l'espoir et l'incertitude coexistaient, façonnant leur caractère et leur vision du monde. Ils étaient les enfants d'une époque tumultueuse, mais aussi les héritiers d'un rêve : celui d'une Pologne libre et souveraine.

    Konrad, dès son plus jeune âge, était un enfant curieux et passionné, avide d'explorer le monde qui l'entourait. Parmi ses nombreux intérêts, le piano occupait une place particulière dans son cœur. Son introduction à cet instrument remonte à l'âge de six ans, lorsque sa mère, la comtesse Wanda, décida d'initier ses enfants à la musique, considérée comme un élément essentiel de l'éducation aristocratique.
    La première fois que Konrad s'assit devant le piano du manoir, il fut immédiatement captivé par la beauté des sons qui en émanaient. Le piano, un majestueux instrument à queue, trônait dans le salon, et chaque note semblait raconter une histoire. Sa mère, pianiste talentueuse, lui enseigna les bases, lui montrant comment les touches blanches et noires pouvaient créer des mélodies envoûtantes. Konrad se souvint de ses premiers cours avec une tendresse particulière, se laissant emporter par la magie de la musique.
    Au fil des années, le piano devint bien plus qu'un simple hobby pour Konrad ; il s'agissait d'une véritable passion. Il passait des heures à jouer, à explorer des compositions classiques de Chopin, dont il admirait particulièrement la capacité à exprimer des émotions profondes et complexes. La musique lui offrait une échappatoire, un moyen d'exprimer ses sentiments et ses pensées dans un monde où les tensions politiques et les incertitudes pesaient lourdement sur son esprit.
    L'intérêt de Konrad pour la politique et son patriotisme fervent se reflétaient également dans sa pratique musicale. Il était particulièrement touché par les œuvres qui évoquaient la lutte pour la liberté et l'identité nationale. En jouant des pièces inspirées par l'histoire de la Pologne, il ressentait un profond lien avec son pays et ses ancêtres. La musique devenait alors un acte de résistance, une manière de revendiquer son identité polonaise dans un contexte d'occupation.

    Konrad s'impliquait également dans des cercles intellectuels et artistiques, où il partageait ses idées sur la musique et la politique. Il participait à des soirées musicales où des discussions sur l'avenir de la Pologne et les aspirations nationalistes étaient au cœur des échanges. Pour lui, le piano était un moyen de rassembler les gens, de créer des liens et de nourrir un sentiment d'unité face aux défis auxquels la nation était confrontée.
    Ainsi, le piano devint un reflet de la personnalité de Konrad : un jeune homme passionné, sensible et engagé. Sa pratique musicale lui permettait de canaliser ses émotions et de nourrir son esprit patriotique. Il voyait dans chaque note jouée une promesse d'espoir pour un avenir meilleur pour la Pologne. En jouant, il se sentait connecté à son héritage, à ses rêves et à la lutte de son peuple pour la liberté.

    En somme, le piano était bien plus qu'un simple hobby pour Konrad Łukasiewicz ; c'était une passion qui nourrissait son âme, un moyen d'expression et un vecteur de son engagement patriotique. Sa musique résonnait comme un écho des aspirations de son pays, et chaque mélodie jouée était une déclaration silencieuse de son amour pour la Pologne.


    Un après-midi ensoleillé, la salle de billard du manoir Łukasiewicz était empreinte d'une atmosphère tendue. Les rayons du soleil filtraient à travers les grandes fenêtres, illuminant les billards en feutre vert et les murs ornés de portraits de la famille. Konrad, avrc son caractère bien trempé, se tenait face à son cousin Borys Voronin, au tempérament impulsif. La tension avait commencé à monter lorsque Konrad, inquiet du comportement de Borys envers sa sœur, avait décidé de lui faire une remarque franche. Il lui avait dit, avec une certaine fermeté, que ses manières étaient inappropriées et qu'il devait faire preuve de plus de respect. Cette intervention, bien que motivée par l'affection fraternelle, avait été perçue par Borys comme une humiliation. Son visage s'était durci, et une lueur de colère avait traversé ses yeux. La tensions entre eux avaient atteint un point de rupture, exacerbées par une remarque que Konrad avait faite sur le comportement de Borys envers lui et sa sœur.

    « Tu sais, Borys, il serait peut-être temps que tu te comportes comme un membre de la famille et non comme un étranger », avait-il dit, sa voix trahissant une frustration contenue. Cette phrase, bien que prononcée sur un ton qui se voulait léger, avait résonné comme une provocation dans l'esprit de Borys.
    Il était le fils d'une noble atrichienne et avait toujours eu un sens exacerbé de l'honneur familial. La remarque de Konrad avait touché une corde sensible. Dans un accès de rage, il s'était dirigé vers le coin de la salle où était exposé un sabre de hussard. Le sabre, brillant et aiguisé, était un symbole de fierté familiale, mais dans ce moment de folie, il était devenu un instrument de violence.
    Sans un mot, Borys avait saisi le sabre, son visage marqué par une détermination féroce. Konrad, réalisant la gravité de la situation, avait tenté de reculer, mais il était déjà trop tard. Dans un mouvement rapide et imprévisible, Borys avait porté le sabre vers lui. Le métal avait mordu la chair de Konrad, laissant une profonde cicatrice sur sa clavicule. La douleur était vive, mais ce qui était plus dévastateur, c'était la trahison ressentie par Konrad. Ce n'était pas seulement une agression physique, mais aussi une rupture d'un lien familial qui avait toujours été considéré comme sacré.

    Le choc de l'agression avait résonné dans la salle, et un silence pesant s'était installé. Konrad, bien que blessé, avait regardé son cousin avec une expression mêlée de surprise et de déception. Borys, quant à lui, réalisait lentement l'ampleur de son acte, la colère cédant la place à une forme de regret.

    Cette agression, bien plus qu'un simple affrontement familial, marquerait à jamais leurs relations, laissant des cicatrices bien plus profondes que celle sur la peau de Konrad. Dans les jours qui suivraient, les échos de cet après-midi dans la salle de billard résonneraient dans les couloirs du manoir, rappelant à tous que les liens du sang peuvent parfois être aussi tranchants qu'un sabre.

    Konrad, âgé de 17 ans, vivait une période charnière de sa vie, marquée par l'éveil de ses premières chaleurs. Jusqu'alors, il avait été perçu comme un Beta, un statut qui lui offrait une certaine protection et une vie relativement normale. Cependant, tout changea lorsque ses chaleurs commencèrent à se manifester, révélant sa véritable nature d'Oméga récessif.

    Les premières chaleurs furent une expérience déroutante et troublante. Il se souvint de la sensation étrange qui l'envahissait, un mélange de chaleur et d'inconfort, accompagné d'une intensité émotionnelle qu'il n'avait jamais ressentie auparavant. Le sentiment que son propre corps le trahissait était le pire. Les phéromones commençaient à émaner de lui, attirant l'attention des Alphas autour de lui. Leur façon de le regarder lui déplaisant particulièrement.

    Dans la société de l'époque, les Omégas comme Konrad étaient souvent stigmatisés. Leur valeur était réduite à leur capacité à procréer, et leurs chaleurs étaient perçues comme un inconvénient. Konrad, conscient de cette réalité, ressentait une profonde anxiété face à son avenir. Les opportunités d'éducation et de travail étaient limitées pour les Omégas, et il savait que ses chaleurs pourraient compromettre ses chances de mener une vie digne.

    Durant cette période, il se heurta à des préjugés et à des discriminations. Les autres jeunes de son âge, en particulier les Alphas, le regardaient différemment. Certains le méprisaient, le voyant comme un simple objet de désir. La peur de l'inconnu et la pression sociale pesaient lourdement sur ses épaules.

    Konrad se réfugiait souvent dans ses études, espérant que l'éducation pourrait lui offrir une échappatoire à son destin. Les chaleurs, qui survenaient de manière imprévisible, compliquaient encore plus sa situation, car il devait jongler entre ses responsabilités scolaires et les effets déstabilisants de sa nature d'Oméga. Et surtout éviter toute situation qui risquait de mal tourner pour lui. Devoir s'isoler, vivre comme un reclus dans sa propre chambre pour ne pas prendre le risque de croiser quelqu'un n'étant pas ses parents, sa sœur ou son grand-père pendant une semaine entière, se sentir mal pendant toute cette période et pire que tout, que son propre organisme réclame quelqu'un, peut importait qui, pourvut que ça s’arrête, était le pire de toute cette nouvelle situation dans sa vie.

    Malgré ces défis, il commença à comprendre que ses chaleurs ne définissaient pas entièrement qui il était. Il découvrit peu à peu des aspects de lui-même qu'il n'avait jamais explorés auparavant.

    Les premières chaleurs de Konrad marquèrent le début d'un voyage complexe, mêlant découverte de soi, lutte contre les préjugés et quête d'acceptation dans une société qui ne voyait en lui qu'un reflet de ses propres stéréotypes.

    Un jour, alors qu'il se rendait à a gare, Konrad fut soudainement accosté par un groupe de chasseurs d'Omégas. Ces individus, motivés par l'appât du gain, avaient pour mission de capturer des omégas pour les revendre à des familles influentes.
    Les chasseurs, bien organisés et sans scrupules, avaient observé Konrad pendant plusieurs jours. Ils savaient qu'il pourrait rapporter une somme considérable sur le marché noir. En un clin d'œil, ils l'attrapèrent, le ligotèrent et le bâillonnèrent, le plaçant ensuite dans un coin sombre d'un véhicule utilitaire.
    Malgré la peur qui l'envahissait, Konrad gardait espoir. Il savait que sa valeur était bien plus que celle d'un simple objet, et il se promettait de trouver un moyen de s'échapper. Pendant ce temps, les chasseurs discutaient de leur plan, se moquant des lois sur le servage qui ne semblaient pas les concerner. Pour eux, seul comptait le profit.

    Konrad, après avoir traversé une épreuve traumatisante d'enlèvement, arriva au manoir dans un état de confusion et d'épuisement. Les portes massives du manoir s'ouvrirent lentement, révélant un intérieur à la fois majestueux et mystérieux. La lumière tamisée des chandeliers dansait sur les murs ornés de portraits anciens, créant une atmosphère inquiétante.





    Halloween


    Dernière édition par Konrad le Dim 8 Sep - 20:58, édité 3 fois
    Magdalena Łukasiewicz
    Bêta
    Magdalena Łukasiewicz
    Animal : “Le lièvre compte sur ses jambes, le loup sur ses dents : chacun survit comme il peut.” ~ Konrad 1723429715-t-l-chargement-14
    Aura animale : Bêta - Loutre de mer
    Présentation : Pur produit de Varsovie
    Relations : ICI
    Re: “Le lièvre compte sur ses jambes, le loup sur ses dents : chacun survit comme il peut.” ~ Konrad Mer 21 Aoû - 22:57

    Bienvenue à toi mon cher frère jumeau!

    Le doyen
    Admin
    Le doyen
    Aura animale : Grand cachalot
    Particularités : 1,90m, 95kg
    Présentation : ICI
    Relations : [URL=LIEN]ICI[/URL]
    Re: “Le lièvre compte sur ses jambes, le loup sur ses dents : chacun survit comme il peut.” ~ Konrad Mar 10 Sep - 21:03

    Félicitations !

    Bienvenue chez les fous

    Tu es validé.e !



    Tu vas pouvoir aller faire tes recensements, ainsi que ta fiche de relations !

    Tu pourras ensuite aller faire un tour dans les demandes de RPs pour répondre à une demande déjà postée, ou poster la tienne ! Ainsi que ta recherche pour obtenir un maître, ou bien trouver des serviteurs, ici. Voire, pourquoi pas, demander un petit logement dans le manoir ?

    En espérant que tu vivras plein d'aventures parmi nous. ♥

    Halloween
    Contenu sponsorisé
    Re: “Le lièvre compte sur ses jambes, le loup sur ses dents : chacun survit comme il peut.” ~ Konrad

    “Le lièvre compte sur ses jambes, le loup sur ses dents : chacun survit comme il peut.” ~ Konrad
    Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
    Page 1 sur 1

    Le manoir des Bêtes :: Персонажи :: Fiches de présentation :: Les Omégas
    Sauter vers: